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Vente immobilière : pourquoi les maisons mal classées perdent de la valeur
Depuis la réforme du diagnostic de performance énergétique (DPE), la décote des maisons mal classées n’est plus une impression de vendeurs déçus, mais une réalité objectivée par les chiffres. Les maisons étiquetées F ou G, classées parmi les passoires thermiques, sont désormais identifiées comme des biens à risque : elles coûtent plus cher à chauffer, sont soumises à des contraintes réglementaires renforcées et suscitent davantage de méfiance chez les acheteurs. Le DPE, longtemps perçu comme une simple formalité, est devenu un critère de tri déterminant dans les recherches de biens.
Les données publiques accessibles via l’Observatoire DPE-AUDIT de l’ADEME ou les informations officielles du site France Rénov’ montrent que la part de logements classés F et G reste significative en France, mais qu’ils sont de plus en plus pénalisés sur le marché. Les acheteurs associent immédiatement ces logements à des travaux lourds de rénovation énergétique, à des démarches administratives complexes et à une possible impossibilité de louer à moyen terme. Pour mieux appréhender ces enjeux, consultez notre article consacré au diagnostic énergétique 2025 offre un éclairage détaillé sur le rôle du DPE dans la vente d’un bien, et constitue une ressource idéale pour les vendeurs souhaitant anticiper l’impact de ce diagnostic.